La différence
Il y a un endroit et un envers à la différence.
Et toi ta jeunesse meurt du temps perdu
Et toi le solitaire étranger,
On ne peut que te montrer l’envers de la différence
Tu veux rentrer dans la sphère de la vie, libre et engagé,
Heureux et partant
Toujours gagnant ton pari à la différence
Faire de ton existence
Des bonnes choses et ne pas avoir d’états d’âme
En avant… toujours en avant
Non au point de retour, au passé
Sinon pour se ressourcer
Ou du moins pour se ressourcer à la différence
Toi l’homme, ta mémoire a mûri
Il n’y a plus de mise à prix
Tu pourras sculpter ta tranche de vie,
Qu’à travers ton image, avec autant de faveurs
Et peut-être avec le temps
« indifférent »
C’est toi…C’est lui…
C’est moi, et l’espoir.
Naima Ratib
Parfois les slam sessions sont
précédées d’ateliers d’écriture.
Les exercices à contraintes
ressemblent à ceux de l’oulipo(ouvroir de littérature potentielle) et donnent
naissance à de petits textes souvent
surprenants :
Abimé, Basile court.
Demain encore,
fébrilement gauche, honteux,
il jasera kaki.
Longtemps manutentionnaire,
nul orage planifié quinquennal
ravive ses terribles univers verreux.
Webmasters, xénophobes y zonent.
Bernard
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